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  • Camp de Ifo. Mahmoud Al Hussein, 50 ans, de Mogadiscio.  Mahmoud a échappé aux représailles des shebabs, actuels opposants au régime de transition. Ce soldat de l'ancien gouvernement était personellement visé. Les combattants ont tué sa femme. Il a dû fuir. Mohamed a perdu ses jambes sur une mine en 1992, en Somalie. Il porte désormais deux prothèses de bois. Désormais pour s'occuper la journée, il veille sur les toilettes. Il les répare si besoin, il a les outils pour. Il le fait gratuitement  parce qu'il sait à quel point les latrines sont un élément important d'hygiène dans le camp. Il a demandé à bénéficier d’une chaise roulante auprès de Handicap International, mais les procédures sont très longues. Il n’est pas sûr de vouloir retourner en Somalie, même si le pays retrouvait la paix.
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  • Kenya, camp de réfugiés de Dadaab - Dagahaley. Mumina, 30 ans, 6 enfants, de Jilib. Mumina est arrivée en décembre 2010. Ces dernières semaines, le UNHCR a entâmé une opération de déplacement des réfugiés vers des zones qui ne risquent pas l'inondation. Mumina refuse de quitter l'endroit où elle a établi son abri. Elle n’ira pas au nouveau camp  Ifo II, ou alors le plus tard possible. Son fils est en convalescence, il ne supporterait pas le trajet. Le petit soulève son t-shirt pour découvrir une protubérance rose vif à l'abdomen. "Il vient de se faire opérer à Nairobi d’une malformation de naissance", explique sa maman encore inquiète.
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  • kenya, Dadaab, le 20-08-11 - camp de Dagahaley. Il accueille plus de 400 000 personnes, Dabaab est le plus grand camp de réfugiés au monde.  Ce sont pour la plupart des Somaliens (95%) ayant fuit la guerre et la famine, deux fléaux qui sévissent dans leur pays. Installés de manières anarchique à la périphérie du camp de Dagahaley, certains nouveaux arrivants survivaient dans des conditions extrêmement précaires. Un enfant joue dans un décor surréaliste. Les abris de fortune construits par les réfugiés de Dagahaley sont constitués uniquement de matériaux de récupération ramassés ça et là
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  • kenya, Dadaab, le 12-08-11 - camp Ifo 3. Avec plus de 400000 réfugiés, en majeure partie des somaliens ayant fuit la guerre et la famine qui sévit dans leur pays, Dabaab est le plus grand camp de réfugiés au monde.
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  • kenya, Dadaab, camp d'Ifo extension le 11-08-11 - Avec plus de 400000 réfugiés, en majeure partie des somaliens ayant fuit la guerre et la famine qui sévissent dans leur pays, Dabaab est le plus grand camp de réfugiés au monde. L'approvisionnement en eau potable a lieu tous les jours.
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  • Kenya, Dadaab, le 12-08-11 - camp Ifo 3. Avec plus de 10000 nouveaux arrivants par semaine et plus de 400000 réfugiés, en majeure partie des somaliens ayant fuit la guerre et la famine qui sévissent dans leur pays, Dabaab est le plus grand camp de réfugiés au monde. Des femmes patientent devant un centre de consultation MSF.
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  • Kenya, Dadaab, camp de Daghaley le 11-08-11 - Les enfants souffrant de malnutrition sévère sont pris en charge dans l'hôpital de MSF. Ils reçoivent un traitement approprié et quotidien au sein de cette section dédiée aux moins de cinq ans. Cet hôpital traite en moyenne 500 patients par mois.
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  • kenya, Dadaab, le 12-08-11 - centre de réception MSF du camp de Daghaley. Avec plus de 10000 nouveaux arrivants par semaine et plus de 400000 réfigiés, en majeure partie des somaliens ayant fuit la guerre et la famine qui sévissent dans leur pays, Dabaab est le plus grand camp de réfugiés au monde. Des femmes et enfants font la queue pour une consultation.
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  • Camp Ifo III. Une petite fille, devant l'abri familial installé en périphérie du camp. Le ciel chargé annonce une pluie orageuse qui ne viendra jamais. La région n'a connu aucune précipitation depuis 3 ans. La tente n'est pas enregistrée par le UNHCR, là où elle est située, les ONG craignent d'imminentes inondations, sources d'épidémies. L'eau ne pénètre plus la terre trop aride et emporterait les habitations aux premières averses. A droite, les latrines encore trop peu nombreuses desservent à elles seules près de 15 familles.
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  • Kenya, camp de réfugiés de Dadaab - Ifo 3. Hassan Abdi Yere, 48 ans, de Boualey. Ce fermier nomade n'était pas bien riche, déjà en Somalie. Il élevait un cheptel de 80 vaches qui a succombé à cette troisième année de sécheresse. Sans ressources, Hassan a rejoint Dadaab il y a 20 jours où il a contracté le virus de la rougeole. Une épidémie sévit en ce moment dans le camp, alertant des ONG comme Médecins Sans Frontières. Une nouvelle campagne de vaccination a visé non plus seulement les enfants, mais aussi les populations de moins de trente ans.                           Depuis sept jours, Hassan est fiévreux, il a des crampes à l'estomac, il ne ferme plus l'oeil de la nuit. Il essaie de prendre des douches pour se refroidir, mais les points d'eau sont loin. Grâce au traitement qu'il respecte scrupuleusement, il reprend des forces petit à petit, ses douleurs s'estompent.
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  • Kenya, camp de réfugiés de Dadaab - Ifo 3. Hawo Aden, Salaghaley, 70 ans.                    "Je ne me souviens même plus du goût de la viande". Hawo, 70 ans, est arrivée à Dadaab il y a cinq mois, elle est issue d'une famille de fermiers nomades. Ils ont laissé leurs dernières vaches en Somalie et sont partis dans la précipitation. Depuis qu'ils habitent le camp, ils cuisinent les rations que leur fournissent les ONG : chapatis, ugali, mais pour les légumes, ils doivent se débrouiller, en acheter sur un marché proche, ils en mangent donc extrêmement peu. Lorsquils élevaient leurs animaux, ils s’en tiraient plutôt bien. Les bêtes servaient de monnaie d'échange, surtout en cas de coup dur. Quand ils n’en ont plus eu, ils ont fui le pays pour trouver le minimum vital, soit 5 kilos de nourriture (huile, farines) pour 15 jours. Selon elle, ce n’est pas assez.
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  • Kenya, camp de réfugiés de Dadaab. Issek Abdi, 60 ans, Bardere et Nouria, 30 ans, sa femme." Au moment où je vous parle, je suis affamé, je n'ai rien à manger", Issek dépend entièrement de la nourriture distribuée deux fois dans le mois par les ONG de Dadaab. Cet homme est aveugle, il ne peut travailler pour subvenir aux besoins du couple. Il n'a pas non plus d'enfants pour l'aider. Issek et sa femme Nouria sont arrivés il y a six mois dans les camps du Kenya, contraints de franchir la frontière depuis que les combattants empêchent les ONG de secourir les populations somaliennes en danger."Nous avons dû fuir". Quatre jours de bus. Ils sont venus tous les deux. Ils n’ont pas encore de carte de rationnement. « On meurt ici, je préfèrerais retourner chez moi ».
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  • kenya, Dadaab, le 12-08-11 - camp Ifo 3. Avec plus de 400000 réfugiés, en majeure partie des somaliens ayant fuit la guerre et la famine qui sévit dans leur pays, Dabaab est le plus grand camp de réfugiés au monde.
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  • Kenya, Dadaab, le 13-08-11 - camp Ifo 3. Il accueille plus de 400 000 personnes, Dabaab est le plus grand camp de réfugiés au monde.  Ce sont pour la plupart des Somaliens (95%) ayant fuit la guerre et la famine, deux fléaux qui sévissent dans leur pays. Une femme se laisse mourir de faim dans la tente familiale. Ses proches n'ont plus d'espoir pour elle.
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  • Camp Ifo III. Issac Ali Hassan, 60 ans, de Salaghaley. Il a été victime de tuberculose quelques années plus tôt. Aujourd'hui, il présente vraisemblablement des symptômes de pneumonie et commence à s'inquiéter de son état. Il se repose dans sa tente. MSF a installé des cliniques de proximité dans les camps. Mais Issac est trop faible pour se déplacer. Ce jour-là, il rencontre un médecin de MSF dépêché sur le terrain, de quoi le rassurer et l'aiguiller sur le traitement à prendre.
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  • Kenya, Dadaab, le 15-08-11 - camp Ifo 3. Il accueille plus de 400 000 personnes, Dabaab est le plus grand camp de réfugiés au monde.  Ce sont pour la plupart des Somaliens (95%) ayant fuit la guerre et la famine, deux fléaux qui sévissent dans leur pays. Distribution de nourriture par le World Food Program
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  • kenya, Dadaab, le 12-08-11 - à proximité du camp Ifo 3.  Des carcasses d'animaux morts jonchent le sol à proximité de Dadaab, le plus grand camp de réfugiés du monde. La corne de l'Afrique subit une des pires sècheresse depuis un quart de siècle.
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  • Kenya, Dadaab, le 15-08-11 - camp Ifo 3. Il accueille plus de 400 000 personnes, Dabaab est le plus grand camp de réfugiés au monde.  Ce sont pour la plupart des Somaliens (95%) ayant fuit la guerre et la famine, deux fléaux qui sévissent dans leur pays. Distribution de nourriture par le World Food Program
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  • Kenya, camp de réfugiés de Dadaab. Djohara cheikh Abdi est allongée dans la pénombre.  Ses proches nous attirent dans la tente où elle se repose, très faible. "Sa rougeole est à l'intérieur", explique mystérieusement sa soeur. Elle est transportée et prise en charge dans une clinique de proximité gérée par Médecins Sans Frontières.
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  • Kenya, camp de réfugiés de Dadaab - Ifo 3.                                                                             Halima, 80 ans selon l'estimation de ses enfants, de Salaghaley où elle vivait le long d'une rivière, elle a marché 25 jours accompagnée de sa communauté, environ 70 familles. Halima ne parle plus, ne possède plus qu'un oeil. Elle habite ici depuis deux mois, sous une tente précaire, construite par son fils et sa belle-fille, l'abri est fait de branchages, de tissus et de toiles qui lui ont été données lors de l'accueil au camp. Cette vieille dame  a choisi de se réfugier à Dadaab car ses animaux sont morts de faim durant la sécheresse qui sévit encore en Somalie. Elle laisse derrière elle son habitation, et les derniers animaux que possédaient sa communauté.  Certaines familles retourneront peut-être en Somalie pour retrouver leur ferme.
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  • kenya, Dadaab, le 19-08-11 - camp de Dagahaley. Il accueille plus de 400 000 personnes, Dabaab est le plus grand camp de réfugiés au monde.  Ce sont pour la plupart des Somaliens (95%) ayant fuit la guerre et la famine, deux fléaux qui sévissent dans leur pays. Les réfugiés installés de façon anarchique dans les périphéries du camp de Dagahaley sont sur le départ.  Devant faire face à la saturation des camps de Dadaab, le UNHCR a décidé de les transférer vers le camp de Ifo 2 ouvert il y a deux jours d'autant qu'ils étaient sur des zones inondables. Un enfant assis sur les afiares de la famille attend le départ
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  • kenya, Dadaab, le 12-08-11 - centre de réception MSF du camp de Daghaley. Avec plus de 10000 nouveaux arrivants par semaine et plus de 400000 réfigiés, en majeure partie des somaliens ayant fuit la guerre et la famine qui sévissent dans leur pays, Dabaab est le plus grand camp de réfugiés au monde. À leur arrivée les enfants sont oscultés et enregistrés.
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  • Kenya, Dadaab, camp de Daghaley le 11-08-11 - Les enfants souffrant de malnutrition sévère sont pris en charge dans l'hôpital de MSF. Ils reçoivent un traitement approprié et quotidien au sein de cette section dédiée aux moins de cinq ans. Cet hôpital traite en moyenne 500 patients par mois.
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  • kenya, Dadaab, le 12-08-11 - centre de réception MSF du camp de Daghaley. Avec plus de 10000 nouveaux arrivants par semaine et plus de 400000 réfigiés, en majeure partie des somaliens ayant fuit la guerre et la famine qui sévissent dans leur pays, Dabaab est le plus grand camp de réfugiés au monde.   Une grand-mère de 60 ans et ses trois petites filles viennent juste d'arriver à Dadaab après 12 jours de marche. Leur cheptel de vaches décimé par la sécheresse elles ont décidé de fuir avant qu'il ne soit trop tard. Pour cela elles ont payé un passeur, dormi dehors durant 12 nuits et sont arrivées pieds nus, épuisées.
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Arnaud Finistre photography

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